La recommandation de Timo
Le mois de décembre est souvent synonyme de fêtes de fin d’année et, pour ce mois particulier, je ne peux que vous recommander The Marvel Nightmare Art of Peach Momoko ! Que ce soit pour l’offrir à quelqu’un ou se l’offrir soi-même, cet ouvrage qui regroupe de multiples dessins de la dessinatrice Peach Momoko en mettra plein les yeux !
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Nous l’attendions au tournant, le second opus de Venom, intitulé Venom : Let There Be Carnage, s’est dévoilé devant nos yeux le mercredi 20 octobre dans toutes les salles de France. Après un premier volet plus drôle que vraiment effrayant, la question ne se posait plus sur la continuité humoristique omniprésente de cette suite. Le film met en lumière Tom Hardy dans son rôle d’Eddie Brock habité par Venom, Woody Harrelson partageant son corps avec Carnage ou encore Naomie Harris dans le rôle de Shriek. Coup de projecteur sur la suite des aventures des symbiotes du Sony’s Spider-Man Universe au cinéma avec ses points positifs et négatifs :
Les points positifs :
- Woody Harrelson est excellent en Cletus Kasady et représente la folie à merveille, sans trop en faire non plus.
- La musique est intéressante et plutôt fidèle au premier opus.
- Tom Hardy est toujours aussi génial en Eddie Brock complétement paumé.
- Quelques blagues sont drôle et la dynamique créée dans le premier opus fonctionne toujours très bien même si on aurait aimé plus de sérieux par rapport au personnages qui s’affrontent.
Les points négatifs :
- Le personnage de Shriek, incarné par Naomie Harris est transparent et peu utile dans le scénario. On la voit d’ailleurs très peu, servant plus de love-interest sans profondeur que de véritable personnage moteur.
- Le montage est évasif et hachuré, pleins de scènes auraient méritées d’être rallongées comme celle de la transformation de Cletus en Carnage.
- La durée du film n’est pas du tout suffisante pour s’impliquer dedans. On a presque l’impression de l’avoir survolé en arrivant à la fin.
- La fin est rapide et mal amenée et ne représente absolument aucun enjeu pour les personnages.
En somme, sans être exceptionnel, Venom : Let There Be Carnage se laisse regarder sans apporter grand-chose au Sony‘s Spider–Man Universe et sans mettre d’enjeux en avant. Il se consomme comme un bon divertissement mais ses nombreuses lacunes en font un film dispensable.
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